S'il est un nom célèbre et pas seulement en dordogne, c'est celui de Cro-Magnon. Mais sait-on réellement qui se cache derrière ce patronyme ?
Le printemps 2018 sera l'occasion de fêter au Musée national de Préhistoire, et sur quelques sites archéologiques majeurs, le cent cinquantenaire de la découverte de Cro-Magnon, par le retour aux Eyzies de certains restes humains conservés au Musée de l'Homme à Paris. Ce sera l'opportunité de faire le point sur cette population rattachée aux Homo sapiens sapiens et d'évaluer leur représentativité vis-à-vis de l'espèce à laquelle nous appartenons également: peut-on se contenter de dire "Cro-Magnon, c'est nous" ?
Enfin, comme rien n'est figé en sciences, nous mesurerons à quel point ces trouvailles archéologiques vieilles de 150 ans permettent encore des avancées scientifiques, par l'acquisition de données nouvelles, l'initiation de recherches inédites et la formulation de théories originales.
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